Témoignage de Lucie Chessé, adjointe en pastorale scolaire

 

Je m’appelle Lucie. Mon mari est agriculteur. Nous avons quatre 4 enfants. Nous habitons à Cerizay.

Je suis éducatrice spécialisée de formation. J’ai travaillé au niveau de l’aide sociale à l’enfance sur Bressuire ; puis en tant que AESH (Accompagnement des Elèves en Situation de Handicap) pendant 5 ans sur Moncoutant.

En tant que parent d’élève, je fais partie depuis plusieurs années de l’APEL 79 (association des parents d’élèves de l’enseignement libre). Je suis également engagée au niveau de ma paroisse.

Les écoles catholiques du Mauléonnais désiraient créer un poste d’animateur en pastorale. J’ai donc postulé pour ce nouveau travail et depuis septembre 2022, j’exerce cette fonction d’adjointe en pastorale scolaire à mi-temps.

Ce nouveau travail correspond pour moi à un projet de vie, reliant ma profession et ma foi.

 

En quoi consiste cette nouvelle fonction ?

J’accompagne les écoles élémentaires, le collège Saint Anne et le lycée Val de l’Ouin. Mon bureau est situé au collège.

Au collège, j’accueille les jeunes de 13h à 14h le jeudi et au lycée, le vendredi aux mêmes heures. C’est un moment de rencontre, d’écoute, d’échange, de réponses à leurs questions. C’est proposer une ouverture sur le monde avec un regard de croyant. C’est aussi être présente lors d’évènements particuliers (décès, par exemple). Au moment des temps forts, c’est aussi s’associer aux projets proposés par l’équipe enseignante : Collecte de jouets à Noël, bol de riz pendant le carême, etc.

Avec les écoles élémentaires, c’est aussi préparer des moments liturgiques, l’Avent par exemple, participer à des célébrations (Noël, Epiphanie, Pâques, etc.)

Mon rôle est avant tout d’accompagner les équipes dans leur vision de la pastorale à travers la vie scolaire.

Je participe également à l’élaboration du projet pastoral des écoles avec les chefs d’établissement, des représentants de la paroisse et des équipes enseignantes. L’objectif est également d’affiner le profil de mon poste.

 

Propos recueillis par Joëlle Logeais

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